GRAND PRIX DU CANADA - Le Grand Prix Formule 1 du Canada est heureux d'annoncer que le réputé pianiste concertiste et compositeur montréalais Alain Lefèvre sera au cœur de deux moments forts du week-end, le gala inaugural « Le Grand Soir », le jeudi 6 juin et les cérémonies protocolaires précédant le départ de la septième manche du Championnat du monde de la FIA, le dimanche 9 juin. Les spectateurs présents au circuit Gilles-Villeneuve en ce début d'après-midi seront alors témoins d'un événement rare en Formule 1 et d'une première dans l'histoire du Grand Prix du Canada : l'interprétation en direct au piano de l'hymne national du pays hôte. Alain Lefèvre s'exécutera sur la piste, à l'avant de la grille de départ.
« Nous sommes fiers d'offrir à un très grand artiste de chez nous déjà bien connu internationalement, l'occasion d'être vu et entendu des millions de téléspectateurs du monde entier qui seront à l'écoute. Du coup, avec cette participation exceptionnelle d'Alain Lefèvre lors des cérémonies d'ouverture, le Grand Prix Formule 1 du Canada fera une fois de plus la démonstration de son caractère distinctif, a déclaré François Dumontier, président et chef de la direction du Groupe de course Octane inc. et président du Grand Prix Formule 1 du Canada. Nous sommes aussi fort heureux qu'Alain ait accepté d'interpréter des pièces de son répertoire le jeudi 6 juin, lors de notre gala inaugural « Le Grand Soir » et du fait avec d'autres artistes, de soutenir la Fondation de l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal et la Fondation olympique canadienne, bénéficiaires des profits générés par cet événement prestigieux. »
« C'est avec vive reconnaissance que je salue l'initiative novatrice du Grand Prix Formule 1 du Canada et de son président, de faire place à un artiste issu du monde de la musique classique, afin d'interpréter l'hymne national canadien au piano, dans les quelques minutes qui précèderont le grand départ de la course, le 9 juin prochain. Cette rencontre inusitée entre deux univers si contrastés, sera je l'espère, un témoignage inspirant pour de futures grandes manifestations, qu'elles soient pour des fins sportives, humanitaires ou autres, dans un effort de démocratisation des formes d'art moins populaires », a déclaré Alain Lefèvre.
« Décrit comme un « Héros » (Los Angeles Times), un pianiste « spectaculaire » (Fanfare Magazine), un « virtuose foudroyant » (Washington Post), une « valeur sûre » (Music Week, Londres) et «parmi les 10 doigts les plus agiles à avoir émergé du Québec… » (Toronto Star), Alain Lefèvre, poursuit une brillante carrière internationale qui le conduit sur les scènes prestigieuses du monde, en récital et avec les grands orchestres et chefs de renom », peut-on lire sur le site web de l'artiste qui rentre d'une importante tournée en Asie. Il était invité entres autres par l'Orchestre Philharmonique de Malaysie à Kuala Lumpur, l'Orchestre Philharmonique de Chine à Beijing et par l'Orchestre Symphonique de Guangzhou. Ambassadeur artistique du Festival de Lanaudière, il sera du concert d'ouverture le 13 juillet. Récipiendaire d'un Prix Juno, de 9 Félix (ADISQ) et de nombreux autres prix, on lui doit d'avoir fait revivre l'œuvre oubliée du pianiste et compositeur de génie André Mathieu, au disque et en concert, dans des capitales telles que Paris, Londres, Berlin et Shanghaï. Le 10 décembre prochain, c'est au Carnegie Hall de New York qu'il célébrera Mathieu. Il fut d'ailleurs invité par le célèbre journaliste américain Charlie Rose lors de son émission diffusée sur PBS, pour y parler de Mathieu et du long-métrage « L'Enfant prodige », réalisé par Luc Dionne et produit par Denise Robert, signant là son premier film à titre de directeur musical.
Lors de sa participation au gala inaugural « Le Grand Soir », le jeudi 6 juin et au circuit Gilles-Villeneuve, le dimanche 9 juin, Alain Lefèvre s'exécutera sur un piano gracieusement fourni par Yamaha Canada. On peut se procurer les enregistrements d'Alain Lefèvre sur étiquette Analekta et en apprendre plus sur sa vie et sa carrière dans le portrait biographique que lui a consacré Georges Nicholson et paru chez Druide.